Diminution des rejets de gaz à effet de serre
Consommer Temebryo, c’est un choix au pluriel.
Consommer Temebryo, c’est choisir de lutter contre la déforestation.
Consommer Temebryo, c’est choisir de diminuer les rejets de gaz à effet de serre, et lutter contre le réchauffement climatique.
Consommer Temebryo, c’est choisir d’avoir un impact environnemental positif.
Aujourd’hui nous savons que les élevages traditionnels émettent majoritairement trois types de gaz :
- le dioxyde de carbone (CO2),
- le méthane (CH4),
- le protoxyde d’azote (N2O).
Une augmentation de la concentration de ces gaz contribue au réchauffement planétaire. En effet, l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), dans un rapport publié en 2013, estime que l’élevage est responsable d’environ 14,5 % des émissions de gaz à effet de serre d’origine humaine.
En 2012 une étude réalisée par Oonincx and de Boer, aux Pays-Bas, sur des vers de farine a montré que les insectes produisent 100 fois moins de gaz à effet de serre que les productions de viandes « normales », dont 10 fois moins d’ammoniac. Leur élevage permettrait donc de diminuer le réchauffement climatique.

L’émissions de CO² est principalement dûe à la déforestation permettant les cultures agricoles qui serviront à nourrir les animaux. Du fait de leur capacité de conversion énergétique extrêmement élevée (les insectes ont besoin de très peu de nourriture pour produire une quantité de protéine importante) leur élevage contribuerait à réduire la déforestation.
Concernant le méthane, il se forme lors de la fermentation des aliments dans le tube digestif des animaux. Celui-ci est ensuite rejeté dans l’atmosphère sous forme de rots ou de pets. Il n’y a pas d’effet de fermentation des aliments lors de la digestion chez les insectes. Donc pas non plus de rejet de méthane.
L’émission importante de N20, mais également d’ammoniac (NH3), sont directement liées au bétail, du fait de la fermentation du fumier et des urines des bêtes.
L’ammoniac agit sur les sols. Elle fait partie du cycle de l’azote : dans la nature, elle est présente sous sa forme ionisée puis est transformée en nitrates. Ce qui lui permet d’être assimilée par les plantes. Mais lorsque ce gaz est présent en trop grande quantité dans l’atmosphère, il acidifie les pluies, et entraîne l’acidification des sols. Du fait d’un excès d’accumulation dans la terre, cela provoquera une diminution de l’oxygène, qui conduira à la mort des organismes animaux et végétaux de ce milieu.
Sources : FAO – Edible Insects, FAO – GLEAM 2.0, ResearchGate